Le projet participatif initié par la municipalité d’Estagel et Perpignan Méditerranée Métropole (PMM) se poursuit. La deuxième réunion de travail a eu lieu le 16 novembre 2023 à 18h30, où 43 habitants étaient présents, avec de nouvelles personnes venant rejoindre la démarche.
Roger Ferrer et les élus présents ont renouvelé leur satisfaction de voir l’engouement initial des habitants se prolonger pour cette démarche. Ils les ont remercié pour leur implication.
Lors du premier atelier, la démarche globale avait été présentée et chaque participant avait pu évoquer ses motivations à participer à ce programme.
8 groupes de travail avaient été constitués et avaient pu commencer la phase diagnostic :
qu'est ce qui va et qu'est ce qui pose problème concernant la traversée d'Estagel
Dans ce deuxième atelier, au sein de chaque groupe, chacun a pu s’exprimer et pointer du doigt les sujets particuliers à améliorer sur tout le linéaire de la traversée.
Pour ce faire, des plans avec une vue aérienne étaient mis à la disposition de chaque groupe,
pour pouvoir y annoter les difficultés et les améliorations à prévoir dans le cadre de l’élaboration du projet.
Après un temps d’échanges et de réflexions, chaque groupe a présenté,
à l’ensemble des participants, l’analyse réalisée. Ainsi, tout le monde a pu prendre connaissance des diagnostics menés par chaque groupe.
Le travail restitué, d’une grande qualité et d’une grande complétude, servira de « terreau » pour la suite de l’aventure.
Une nouvelle fois, les acteurs présents ont salué la démarche et l’organisation, et après un verre de l’amitié sont rentrés chez eux,
convaincus d’être engagés dans une démarche utile pour l’amélioration du cadre de vie des Estagellois…
La prochaine étape, courant février 2024, consistera à trouver des solutions pour améliorer, tout ou partie, des points relevés lors de ce deuxième atelier.
La démarche reste ouverte, et il est encore possible de la rejoindre pour participer à l'atelier de février,
qui sera animé par Valérie Bernado et Yama Iliassi de PMM, et Thierry Massot du bureau d’études RTI.